22 mars 2016
1 mars 2016
Dernières émotions vastes
J’aimerais vivre l’expérience qu’on me tire une balle en pleine face en pleine rue en pleine nuit l’hiver sans raison surtout.
Un soir de sucre à glacer, de poudre à récurer le sang.
L’éléphant maigre et noir, qui se tient derrière les containers dans la ruelle, entre Beaubien et Bellechasse, il remue à peine.
Nous sommes en temps ordinaire.
On marche à demi-mot toi et moi. Je me sens cool dans tes veines.
Ce qui n'a rien de personnel.
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