Je ne sens même pas que la journée passe
imagine
tellement je l'ai de travers
T'es là je crois
tu sais j'ai même peur
que tu sois
Imagine
qu'il n'y a plus vraiment de jours
Tout le temps la brunante
Ta conscience qui peine à s'éveiller
s'endormit
Tout le temps ce même bleu
qui te passe
a través de
Le titre est en espagnol. À prononcer comme tel...
RépondreSupprimerPoème improvisé pendant une immersion longue, répétée, dans l'ambiance crépusculaire du nouveau Thom Yorke, Tomorrow’s Modern Boxes...
L'aube n'en finit jamais avec le jour... je ne sais pas pourquoi mais je revois la mélancolie du Printemps de Munch et surtout le rideaux gorgé de brise. J'aime beaucoup !
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