Au
commencement il y eut le pied.
Ensuite
l'anus. Le ventre. Et les dents.
Et le reste de ce qui s’est écroulé.
Et
j’ai peur que ça arrive encore : Que la lumière baisse à
l’extrême, comme avec un dimmer, quand tu vas au plus bas.
Cette sorte de picotement de l'espace vide qui groove de
caquètements tristes en caquètements fluorescents.
Ta
face d'enterrement quand ça arrive. Tes gestes de guenon qui a perdu
ses petits.
Ton sourire mort sans rire.
Ton sourire mort sans rire.
Me
rendre dans l'espace en empruntant un corridor d'asphalte.
Trouver une ampoule à cinq ou dix watts.
Boire assez d'eau pour survivre.
Boire assez d'eau pour survivre.
Carl, je peux utiliser ton texte pour un billet ?? d'abord la pochette m'a parlé de tes mots, puis la musique aussi.. Swans "The glowing man"
RépondreSupprimerBien sûr... Swans, ce sera un grand honneur!
RépondreSupprimermerci.. y'a pas de coïncidence.. je lis ton texte, je me souviens de tes dessins, j'ai dans les oreilles le nouveau Swans. Comme une évidence.
RépondreSupprimerDepuis le temps que tes mots m'intriguent.
Biz