7 octobre 2013

La preuve que Trois-Rivières n'existe pas







5 commentaires:

  1. J'apprécie beaucoup ce sombre portrait de ma Trifluvie adpotive.

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  2. J'entends beaucoup de musique à travers tes photos Carl... une certaines musique, je lis ton billet précédent et j'imagine celle que tu entends toi..
    Un cube habité, des groles qui pendent, un ciel habité projeté sur du lin... de l'urbanisme déshumanisé.... un son.

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  3. Pourtant, Nel, Trois-Rivières était bien jolie ce w-end, n'est-ce pas?... Grands vents et feuilles mortes qui se ramassaient à l'appel, autour du soleil... Mais que veux-tu, je tends toujours vers le côté obscur de la force.:D
    Ma blonde habite là maintenant, ce qui m'y amène un ou deux w-end par mois, et j'aime bien. C'est une belle ville. On se croisera p-être à la Barik, un de ces 4... Héhé...
    Merci de répandre ta prose jusqu'ici Charlu. Oui il y a toujours de la musique derrière ces images mentales désorganisées. Des métaux qui s'entrechoquent. Des vents qui sifflent dans quelconque châssis. Quelques notes graves. Exhaust, Cabaret Voltaire, Tom Waits, ce genre de paumés magnifiques...

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  4. Magnifique! Il y a des perles. Trois-Rivières te fait bien.

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  5. ça fait penser à l'islande, aec le mauvais temps en moins.

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