je ne me rappelle pas si j'ai aimé un jour autre chose que ce qui cherchait à être libéré en moi. et c'est juste peut être une sorte de larme. le reflet d'une solitude inextinguible.
le partage de la solitude dans l'errance de soi en dehors d'un monde clos. clos à soi, moi. parfois je pense que nous sommes une seule et même chose, tous, mais que la "vie" nous a séparés.
quand le lien passe, c'est comme un courant dangereux. un tonerre. un coup de foudre.
l'ironie et le cynisme sont le renoncement à la terreur qu'inspire la création. la lueur perçue dans un regard frère est une brisure. un secret qui se dévoile. l'amour.
et puis il y a ceux qui ont une morale, ou je ne sais quoi d'autre. tu les vois se tromper en scrutant dans l'interstice qui te relie à leur "fond" insondable. car ils se dissimulent derrière leur barrière analytique chargée d'erreur et d'esprit hyérarchique. ils se confondent dans le silence de leur connaissance absconse. ils se parlent à eux-même en te jugeant tel un objet.
je ne sais pas, en fait. ce qui est bizarre, c'est qu'ils pensent toujours te connaitre, détenir une clé ou une "vérité", mais passent toujours à côté du tonerre. comme pour s'en défier.
http://www.youtube.com/watch?v=I1kId4kKWvo
"the theory changes the reality it describes" (philip k dick)
chuis pas fucké, chuis un pauvre con qui ne comprend toujours pas pourquoi il marche, et qui regarde le monde comme un intrus. je ne suis pas "réalisé". les anges du mal ricanent et sont fuckés... quand je tombe par-terre, je cherche ta main. avec le dos de la mienne embrassant le sol de sa pauvre existence de chair. je suis perdu
m'en vais me coucher dans le diable, ce soir, comme tous, et toi ?
ça gaze ?
tiens, un poème :
j'arrivais pas à me tenir debout .. de toute façon mes pieds puaient comme tous les patrons pour lesquels je me levais du matin au soir dans ce monde pourri fait pour annihiler l'humanité des gens
j'acheta un paquet de pépitos en pensant au mont chasta dont je n'avais rien à foutre
Coucher dans le diable. En effet, n'est-ce pas? C'est toujours un peu ça non? Y a même les flammes et tout non? Ou bien est-ce que les flammes sont pas plutôt dans nos entrailles? Non? Se réveiller, c'est s'éteindre.
"se réveiller, c'est s'éteindre", vrai, en même temps, quand on te vole ton sommeil, reste plus grand chose.
têtre l'espace entre. la solitude. ou l'hallucination. le diable, je le connais pas. mais je sais qu'il me suit. faut jamais l'oublier, c'est par là qu'il te baise.
je t'apprécie
RépondreSupprimerLéo c'est mon pote...
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=MZOfThnY7Fw&feature=related
RépondreSupprimerpardon
je ne me rappelle pas si j'ai aimé un jour autre chose que ce qui cherchait à être libéré en moi. et c'est juste peut être une sorte de larme. le reflet d'une solitude inextinguible.
RépondreSupprimerle partage de la solitude dans l'errance de soi en dehors d'un monde clos. clos à soi, moi. parfois je pense que nous sommes une seule et même chose, tous, mais que la "vie" nous a séparés.
quand le lien passe, c'est comme un courant dangereux. un tonerre. un coup de foudre.
l'ironie et le cynisme sont le renoncement à la terreur qu'inspire la création. la lueur perçue dans un regard frère est une brisure. un secret qui se dévoile. l'amour.
et puis il y a ceux qui ont une morale, ou je ne sais quoi d'autre. tu les vois se tromper en scrutant dans l'interstice qui te relie à leur "fond" insondable. car ils se dissimulent derrière leur barrière analytique chargée d'erreur et d'esprit hyérarchique. ils se confondent dans le silence de leur connaissance absconse. ils se parlent à eux-même en te jugeant tel un objet.
je ne sais pas, en fait. ce qui est bizarre, c'est qu'ils pensent toujours te connaitre, détenir une clé ou une "vérité", mais passent toujours à côté du tonerre. comme pour s'en défier.
http://www.youtube.com/watch?v=I1kId4kKWvo
"the theory changes the reality it describes" (philip k dick)
pi tiens :
http://www.youtube.com/watch?v=2AWZwuMfWoQ
etcetc...
ALL WE ARE SAYING
IS GIVE YGG A CHANCE
bonne continuuation.
RépondreSupprimerPareillement, grandes dents!
RépondreSupprimertu te méprends ma vieille.
RépondreSupprimerbref.
tiens kan-maime :
http://www.youtube.com/watch?v=MJoGBuonN4E
T'es royalement fucké, man!
RépondreSupprimerbizz
toi maime
RépondreSupprimerapprécie la volupté, man.
never afraid by death, death is life, man.
bise
fear is death, kiss, love
je ne sais pas quels yeux me perceront à la fin. nous sommes ignares. je ne peux pas "dire", c'est impossible.
RépondreSupprimerje ne sais pas ce qu'est "aimer".
ça ressemble à du confort.
des fois, j'étais bien en me laissant tomber par terre, comme une chose bonne à être avalée. par la grande chose qui n'existe pas
chuis pas fucké, chuis un pauvre con qui ne comprend toujours pas pourquoi il marche, et qui regarde le monde comme un intrus. je ne suis pas "réalisé". les anges du mal ricanent et sont fuckés... quand je tombe par-terre, je cherche ta main. avec le dos de la mienne embrassant le sol de sa pauvre existence de chair. je suis perdu
RépondreSupprimerm'en vais me coucher dans le diable, ce soir, comme tous, et toi ?
RépondreSupprimerça gaze ?
tiens, un poème :
j'arrivais pas à me tenir debout
..
de toute façon
mes pieds puaient comme tous les patrons pour lesquels je me levais du matin au soir
dans ce monde pourri fait pour annihiler l'humanité des gens
j'acheta un paquet de pépitos en pensant au mont chasta dont je n'avais rien à foutre
car j'étais banni de la vie
Coucher dans le diable. En effet, n'est-ce pas?
RépondreSupprimerC'est toujours un peu ça non?
Y a même les flammes et tout non?
Ou bien est-ce que les flammes sont pas plutôt dans nos entrailles?
Non?
Se réveiller, c'est s'éteindre.
Adieu. bises.
"se réveiller, c'est s'éteindre", vrai, en même temps, quand on te vole ton sommeil, reste plus grand chose.
RépondreSupprimertêtre l'espace entre. la solitude. ou l'hallucination. le diable, je le connais pas. mais je sais qu'il me suit. faut jamais l'oublier, c'est par là qu'il te baise.
http://www.youtube.com/watch?v=33XpspSbK2A
alcool, bise
(fais gaffe au petit "tit" bizarre en début de vidéo, c'est là que tout ce joue, dans ce parasite"
RépondreSupprimerapprécie quand même après le gzzt!
T'es têtu, toi.
RépondreSupprimerT'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
T'es têtu, toi.
Mais je t'apprécie.
Biz. Adios.