Merci la Rouge. C'est l'eau sur la coque du bateau. Parfois je me demande pourquoi je continue ce blogue. Le lectorat paraît rare. Disons que c'est comme de cultiver un petit jardin, il faut le faire pour soi, pas pour les autres. Je vous remercie de votre fidélité. Enfin, ça fait drôle de dire ça à une démone.
Tu sais Carl, peu de gens laissent des commentaires. Et puis comme dit Ysan, il y a tellement d'amour dans ce blog qu'il serait dommage de ne plus exposer. Ce que tu fais me touche beaucoup, c'est vrai, ta vérité mais toujours vrai. J'ai pas d'autres mots que la vérité en tête. C'est rare de nos jours. Et puis tu vois toujours milles choses de ton angle propre. C'est ce que j'aime car c'est toi, Poulin Style. :)
Moi je dirai que c'est très précieux de divulguer comme ça, des morceaux de toi, cette chair de poule salée... il est précieux ce jardin de mots de d'images. Je vais faire l'égoiste, mais rien que pour la toile bleue que tu as déclanchée chez moi, grace à ta photo outremer et l'idée de rester 2h devant les baleines, La rue Marnier où vit un écrivain/photographe doit continuer à donner envie. et même..accélère, à donf Carl.
La Rouge, j'ai une proposition à vous faire: Pourquoi on ne deviendrait pas les "Charlu's Angels"...? Oups! J'oubliais que le mot "ange" ne peut pas convenir dans votre cas...
Ça me cloue sur ma chaise. C'est magnifique ce triptyque Carl. On sent le vent.
RépondreSupprimerMerci la Rouge. C'est l'eau sur la coque du bateau.
RépondreSupprimerParfois je me demande pourquoi je continue ce blogue. Le lectorat paraît rare. Disons que c'est comme de cultiver un petit jardin, il faut le faire pour soi, pas pour les autres.
Je vous remercie de votre fidélité.
Enfin, ça fait drôle de dire ça à une démone.
Il y a de l'amour dans cette photo...
RépondreSupprimerTu sais Carl, peu de gens laissent des commentaires. Et puis comme dit Ysan, il y a tellement d'amour dans ce blog qu'il serait dommage de ne plus exposer. Ce que tu fais me touche beaucoup, c'est vrai, ta vérité mais toujours vrai. J'ai pas d'autres mots que la vérité en tête. C'est rare de nos jours. Et puis tu vois toujours milles choses de ton angle propre. C'est ce que j'aime car c'est toi, Poulin Style. :)
RépondreSupprimerMoi je dirai que c'est très précieux de divulguer comme ça, des morceaux de toi, cette chair de poule salée... il est précieux ce jardin de mots de d'images.
RépondreSupprimerJe vais faire l'égoiste, mais rien que pour la toile bleue que tu as déclanchée chez moi, grace à ta photo outremer et l'idée de rester 2h devant les baleines, La rue Marnier où vit un écrivain/photographe doit continuer à donner envie.
et même..accélère, à donf Carl.
BYEE
La Rouge, j'ai une proposition à vous faire: Pourquoi on ne deviendrait pas les "Charlu's Angels"...?
RépondreSupprimerOups! J'oubliais que le mot "ange" ne peut pas convenir dans votre cas...
Je ne commente pas beaucoup, mais je lis souvent, et j'apprécie toujours.
RépondreSupprimerMoi, ze suis timide depuis que z'ai déconné un peu trop fort ici. C'est pou ça... Mais je reviens vous voir m'ssieur Carl
RépondreSupprimerTrouver de la poésie dans la matérialité est donc possible.
RépondreSupprimer